Événements passés

2025 – Mondes parallèles – Mitsuo Shiraishi

Mitsuo SHIRAISHI est né à Tokyo, au Japon, en 1969.
Il vit et travaille en Alsace.
Le vernissage de l’exposition a eu lieu le vendredi 1er août à 18h30 en présence de l’artiste.
Une soirée spéciale finissage a eu lieu le samedi 23 août avec la projection gratuite en plein air du film « Le voyage de Chihiro » de Hayao MIYAZAKI en partenariat avec l’Association « Passion Cinéma » de Plombières-les-Bains, Place du Bain romain.

« Un perpétuel questionnement sur l’existence et notre rapport aux mondes fondent l’essentiel de ma préoccupation artistique. Réalité et rêverie entremêlées dressent des mondes énigmatiques, souvent opposés, comme l’ici et l’au-delà, le réel et l’irréel, le manque et la plénitude, la présence et l’absence…
Ce titre « Mondes parallèles » est une proposition, une hypothèse, un point de vue, un regard sur mes œuvres auxquelles j’accorde volontiers une lecture ambivalente, incitation aux voyages intimes à travers des paysages mentaux reflétant nos miroirs intérieurs
».
Mitsuo SHIRAISHI, 2025

Formation :
Certificat d’art plastique, Ecole des Beaux-Arts de Lyon (1991).
Diplôme national d’art plastique, Ecole des Beaux-Arts de Mulhouse (1994).
Diplôme national supérieur d’expression plastique avec mention, Ecole des Beaux-Arts de Mulhouse (1996).
Distinctions :
Prix Lacourière, mention particulière, Bibliothèque nationale de Paris (1996)
Espoirs 96, sélection et acquisition par la Fondation Peter Stuyvesant, Paris (1996)
Prix d’honneur, Triennale mondiale de l’estampe petit format, Chamalières (2003
Nommé Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres (2008).

Voir le site de Mitsuo Shiraishi

2025 – Pop’Escale

2025 – L’horizon nous traverse – Michèle Iznardo

Michèle IZNARDO est une peintre française née à Paris. Elle a exposé dans de nombreuses galeries en France et à l’étranger. On retrouve ses œuvres dans les collections privées et publiques. Elle a été pensionnaire à la Casa de Velázquez à Madrid en 1988-1989.
Facebook Michèle Iznardo

« Michèle IZNARDO interroge le paysage à partir de la ligne qui cerne sans décrire. Avec sa récente série de fusains, celle-ci se fait encore plus allusive, plus mystérieuse dans son dialogue avec la nature…
… Dans un format vertical, qui renforce l’illusionnisme de la capture de son sujet, Michèle Iznardo recourt à des superpositions de formes évoquant le ciel, les montagnes, les nuages dont elle renforce l’interaction par des juxtapositions de matières fusain-huile ou encore fusain-collage. Ce travail de recouvrement et de dévoilement tend à la transparence de la surface… par le jeu adouci et en profondeur des jus dilués, des ombres foncées jusqu’au noir et toute une déclinaison de blancs de zinc, d’argent, de titane, de gris de payne, d’ivoire, de fumée. Illusoire est aussi la ligne d’horizon dans ces paysages vécus de l’intérieur dont l’artiste nous révèle l’intime beauté. Ni abstraits, ni réalistes, ses dessins instrumentalisent le visible et l’invisible. Tantôt graves, tantôt élégiaques, les dessins de Michèle Iznardo transcrivent un espace qui est plus important que la chose représentée. Un regard sur l’espace, exigeant parce qu’un espace où s’absorbent notre regard comme notre pensée ».
Lydia Harambourg, La Gazette de l’Hôtel Drouot, de Musées en Galeries.

Formation, bourses :

1984 Diplôme de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Paris
1987-1988 Lauréate de la Ville de Paris, Casa de Velázquez
1988-1989 Pensionnaire à la Casa de Velázquez, Madrid, Espagne

Expositions personnelles (sélection depuis 2011) :

2023 Galerie Christine Colon, « Minéralité », avec M.Hollebecq sculpteur Liège, Belgique
2018 Galerie Estelle Lebas, « Dessins », Lille
2015 Galerie Jonas, « Pli selon pli », Cortaillod-Neuchâtel, Suisse
Galerie Estelle Lebas, Lille avec G. Couffignal, sculpteur
Galerie de l’échiquier, « Au bord du monde », Paris
Galerie Brigitte Ruffin, La Rochelle
2013 Propriété Caillebotte, « Sur le pas de l’ombre », Yerres
2012 Galerie Paul Olink, « Le paysage et au-delà », La Haye
Galerie l’R du Cormoran, « Le lieu et le temps », Pernes
2011 Galerie Vivoequidem, « Œuvres graphiques », Paris

Expositions collectives (sélection depuis 2015) :

2025 Galerie Papiers d’art, « Ehanno-Iznardo », Paris
2022 ST-ART, Foire d’art contemporain Strasbourg, Galerie Eonney-Dupuy,St Briac
2021 Galerie Estelle Lebas, Galerie de l’Hermitage, Le Touquet
2019 Galerie Bagnato, « Paris-Konstanz », Konstanz, Allemagne
Centre d’Art contemporain, « Art et poésie, de l’intime à l’universel », Briançon
Librairie Ombres blanches, Editions Po&psy, Toulouse
ARTUP LILLE2019-Galerie Estelle Lebas, Lille
2018 Maison des Arts d’Evreux et Médiathèque
ARTUP LILLE 2018, Galerie Ruffieux-Bril, Chambéry
2017 ARTUP LILLE 2017, Galerie Olink, La Haye,Nederland
2016 Galerie Bagnato, « L’Autre mer », Konstanz, Allemagne
2015 Galerie Estelle Lebas, « Matière-matière », Lille,Dunkerque

Collections publiques (sélection) :

Fonds d’Art contemporain de la Ville de Paris
Propriété Caillebote, Yerres
Médiathèque d’Evreux
Médiathèque de l’Espace Andrée Chedid, Issy-les-Moulineaux
Museo de BellasArtes, Valdepeňas, Espagne
Casa de Velázquez, Madrid, Espagne

2025 – Escale en sociologie – Hervé MARCHAL – « Décloisonner les identités »

Cette « Escale en sociologie » fait partie des trois « Escales à la Galerie » proposées au cours de la saison 2025.
Hervé MARCHAL, sociologue, présentera son ouvrage « Décloisonner les identités : Essai sur les enjeux anthropologiques de l’altérité ».- Le Cavalier Bleu, 2024.
Lecture d’extraits par l’auteur et échanges avec le public.

Lors de cette escale, il s’agira de penser une relation éthique à l’autre pour l’appréhender dans toute son épaisseur. Mais il sera aussi question de penser notre relation au monde et à soi pour comprendre comment le monde nous fait tout autant que nous le faisons.
Hervé MARCHAL dédicacera ses livres à l’issue de la conférence.
Hervé MARCHAL est Professeur de sociologie à l’Université de Bourgogne-Europe et directeur de la MSH de Dijon (UBE/CNRS).

2025 – Aboutons les boutures – Sylvie Villaume

Sylvie Villaume est née en 1963 à Saint-Dié des Vosges, elle vit à Strasbourg.
Artiste pluridisciplinaire, Sylvie Villaume travaille parallèlement ou successivement dessins, couzages (œuvres dessinées et cousues), sculptures d’assemblage ou en céramique.
Elle écrit des textes de fiction, des récits et des échos d’expériences plastiques, parfois des chansons. Plusieurs ouvrages publiés (dessins et/ou textes) principalement aux éditions Les Lieux-Dits, l’Harmattan et l’université de Strasbourg.
Sylvie Villaume crée des spectacles transdisciplinaires, mettant en œuvre idées et acteurs dans le spectacle vivant (objets scéniques).
Écrire et dessiner, monter des projets de connivence plastique/écrit, est sa préoccupation actuelle.

Exposition à la Galerie Nicole Buck, Un oiseau passe, 2021
Zone d’art
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Récemment :
Livres :

  • Paroles d’herbes folles (texte).- Strasbourg : les lieux-dits éditions, 2025.
  • Cette bouche (texte, ill. Haleh Zahedi).- Strasbourg : 2pieds2mains éditions, 2024.
  • Délicatesses (texte, ill. Ainaz Nosrat).- Strasbourg : les lieux-dits éditions, 2023.
  • Chant pour l’oiseau (texte et ill.).- Strasbourg : 2pieds2mains éditions, 2023.
  • Balayer l’atelier (textes, ill. Haleh Zahedi).- Strasbourg : les lieux-dits éditions, 2020.
  • La fraternité ? Une belle partie de peinture / Die Brüderlichkeit ? Ein malerisches Vergnügen (texte et photo).- Strasbourg : les lieux-dits éditions, 2018.- Édition bilingue, Johana Meffert, trad.

Expositions personnelles :
2024 – Conversations, Galerie Nicole Buck, Hurtigheim.
2017 – Les patients, installation monumentale, hôtel-dieu du centre hospitalier, Tonnerre.

Expositions collectives :
2025 – Wir sind die Königinnen, Atelier Teipelke, Kehl (D), avec Eva Schaeuble, Ilse Teipelke, Isolde Wawrin.
2023 – Vidéos et installations, galerie Justbee, Maseveaux, avec Robert Cahen, Jan Mladovsky, Guido Nussbaum.

Abouter les boutures
n’est pas adouber la biture
non
pas habiter le bâti en boudant les battants qui chopent l’air

  • on a besoin d’air –
    n’est pas non plus bidouiller la peinture
    ni badiner du badigeon

abouter les boutures est plutôt printanier
boutonnant quelques brouts des fruits à venir
ou dans l’étai des baies
pour babines barbouillées
aux babils de l’été

abouter les boutures
débite ses bouts
sépare ses brindilles
puis bâtit dans les ajours
traces de fusain
réunions légères
et coutures aux jointures

abouter les boutures engage parfois
la pièce montée
dont la sève risque la dégoulinade
et l’architecture une impossible stabilité
mais demande-t-on aux relations
la fermeté du monument
ou
la mouvance du vivant
?
abouter les boutures devient couzage
qui roule son bracelet dans les brèches
caracole sur les bords
dessine à la machine
des rus qui frissonnent
des sentes qui sillonnent
les formes étonnées de pétales
en zigzags
ou pointillés
en résumé
pour le dialogue des morcelés
la frondaison des découpés
et pour une œuvre ensemencée
aboutons les boutures

Aboutons les boutures
Sylvie Villaume, 2025

2025 – Escale en poésie – Béatrice Marchal

2024 – Noël à la Galerie – Céline Lambert – Delphine Regneault

Dans le cadre du Marché de Noël de Plombières-les-Bains, la Galerie a présenté les créations tout en finesse et en poésie de Céline Lambert et de Delphine Regneault.

Céline LAMBERT, « Ange », fileuse de verre au chalumeau.
Dans son art, Céline utilise à la fois le verre et le végétal pour créer des univers féeriques et poétiques. Son objectif est de capturer l’imagination et d’évoquer un monde lyrique à travers ses créations qui tournent essentiellement autour du monde floral.
Armée de son chalumeau, de ses baguettes de verre et de ses outils, telle une fée, Céline modèle, étire et dompte le verre en fusion afin de donner vie à des créations tout en délicatesse.
Céline propose également une collection de bijoux sous le nom de « Bijoux d’Ange ». Elle est adhérente aux Perliers d’Art de France.
Voir le site de Céline

Delphine REGNEAULT, fildefériste, fileuse de verre.
Dans son atelier proche de Troyes, Delphine dessine avec le fil de fer et colorie avec le verre fondu à la flamme de son chalumeau. Ses mains courbent, plient, entortillent, coupent un long fil. Elle peut lui donner toutes les formes qui lui passent dans la tête. Delphine invente des petites histoires en volume et en couleur pour faire rêver le public et l’emmener ailleurs. Elle crée un monde imaginaire et poétique autour de la nature, des fleurs, des animaux, des architectures.
Delphine aime aussi le mouvement. Un souffle d’air, un mouvement de la main et ses créations deviennent vivantes.
Voir le site de Delphine

2024 – Nica et ses amis jazzmen – Clair Arthur – Jean-Pierre Lécuyer

La baronne Pannonica de Koenigswarter, dite Nica de Koenigswarter, née Rothschild le 10 décembre 1913 à Londres et décédée le 30 novembre 1988 à New York, a été la mécène et la bienfaitrice des plus grands noms du jazz bebop dans les années 19501960.

Les deux artistes Clair ARTHUR et Jean-Pierre LÉCUYER font revivre dans cette exposition l’univers de la Baronne du jazz, Pannonica de Koenigswarter dans le New York des années 1950-1960. Les peintures de Clair ARTHUR font écho aux gravures de Jean-Pierre LÉCUYER.

Clair ARTHUR est auteur et metteur en scène de théâtre originaire d’Épinal. Il se consacre aujourd’hui principalement à la peinture, dans son atelier nancéien de la rue des Sœurs Macaron.
Désormais, son travail s’oriente vers des œuvres et des installations autour du papier et du tissu, visibles à l’occasion de multiples expositions. Ilest par ailleurs l’auteur d’une vingtaine de livres pour enfants publiés aux Éditions Nathan et Flammarion.
Récemment, Jean-Louis ANTOINE, écrivain et journaliste, lui a consacré une monographie, publiée aux Editions Gérard LOUIS.
Depuis peu également, c’est l’association arthurCclair qui gère le montage de ses projets.

« Clair Arthur est un ange juché au ciel de nos vies. De son mirador, il décoche les flèches d’un florilège doux-amer qui met du baume sur les plaies de l’époque. Le public ne s’y trompe pas qui plébiscite les fresques joyeuses et les personnages facétieux de sa divine comédie ».
« Clair Arthur, puzzle d’un ange » Jean-Louis Antoine.- Éditions Gérard Louis, 2023

Voir le site de Clair Arthur

Jean-Pierre LÉCUYER, graveur plasticien est né à Épinal. Il vit à Plombières-les-Bains. Il a fait ses études d’arts graphiques aux Beaux-arts de Nancy. Il a obtenu le Prix de l’Académie Stanislas. Ses gravures se trouvent dans les collections privées et publiques en France et à l’étranger. Il est membre fondateur de Xylon-France dont il a été le président de 1982 à 2003.
Jean-Pierre Lécuyer est l’initiateur de nombreuses expositions et d’échanges avec l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, l’Angleterre, l’Autriche, le Québec, le Japon…

« Notre ami poète Gérard Lecomte nous a proposé son beau texte hommage à Pannonica muse et protectrice des jazzmen BE-BOP.
Ainsi, séduit par Nica la baronne du jazz, je me suis envolé avec le papillon Pannonica.
Dans mon bagage, mes gouges de graveur et mon imaginaire. Nica était au rendez-vous entourée de ses amis jazzmen et de ses cent vingt deux chats dans sa maison « Cathouse » à New York, la ville qui ne dort jamais… ». Jean-Pierre Lécuyer, juin 2024

Voir le site de Jean-Pierre Lécuyer

En lien avec « Lettre à Pannonica », livret numéroté, format 10×17 cm en accordéon. Texte de Gérard Lecomte, illustrations de Clair Arthur et de Jean-Pierre Lécuyer, photographies d’Andreï Lecomte. Éditions du Moncel, 2024.

2024 – Portraits – Oliver Pavic

Oliver PAVIC est né en 1986 en Slovénie. C’est un artiste autodidacte qui a suivi une formation d’architecte. Il a grandi en idolâtrant le monde occidental libre. Des événements tels que la chute du mur de Berlin et la guerre des Balkans dans les années 90 lui ont ouvert de nouvelles perspectives en termes de liberté d’expression. Il a commencé son parcours professionnel à Ljubljana, capitale de la Slovénie, mais a obtenu son diplôme et est devenu architecte à Londres. En 2008, la rétrospective de Francis Bacon à la Tate Britain a profondément marqué sa vie. Le besoin de s’exprimer artistiquement le conduit en France, où en 2015, il installe son atelier en Champagne et se lance dans un parcours d’artiste peintre.
La Galerie des Bains présente une série de portraits réalisés selon le style « dis-figurative » d’Oliver Pavic.
Voir le site d’Oliver Pavic.

« Si la définition du portrait se résume à l’image d’un personnage à un moment précis alors nous pouvons dire que les portraits d’Oliver Pavic ne sont pas tout à fait conformes à cette définition… précisément.
En effet ses portraits nous plongent à la fois dans un passé proche et lointain bien qu’ils soient d’une grande modernité.
Que nous disent les personnages d’Oliver Pavic ? Sont-ils d’ici ou d’ailleurs , d’hier ou de toujours ?
Leurs regards plongent le spectateur dans une sorte d’expectative interrogative.
Sont-ce les événements contemporains ou les traces de l’histoire qui les ont façonnés ?
Oliver Pavic invite le spectateur à percevoir différemment les portraits et à s’approprier de nouveaux codes.
Chacun des personnages est pétri de sa propre histoire mais aussi de l’histoire commune. Les portraits d’Oliver Pavic en mettant l’accent sur la fonction symbolique ou encore l’état d’âme de ses modèles en sont un exemple ». La Galerie des Bains


2024 – Petr Berànek – Armin Göhringer
En partenariat avec l’exp-at galerie

Petr Beránek est né à Prague, il grandit à Bâle où il se forme à la Visual Art School. Depuis 2002, sa carrière de plasticien se développe en Europe, avec une présence dans des collections publiques.
En 2017, il s’est fixé à Masevaux en Alsace, dans une ancienne usine qu’il a entièrement rénovée pour y installer son atelier et sa galerie d’art justBEE.
L’artiste élabore depuis 2006 une technique complexe de tirage photo qu’il assemble puis imprime sur toile ou papier : le Gumprint.
Ce «collage imprimé» est ensuite réhaussé par de la peinture, du graphite, de la craie.
Ses peintures abstraites sont réalisées avec de l’acrylique enrichie de pigments, parfois combinée à d’autres matériaux : huile, sable, fusain.
Il a également réalisé plusieurs séries de duos avec l’artiste strasbourgeois Didier Guth.
Instagram
JustBee Gallery

Armin Göhringer est né en 1954 à Nordrach en Allemagne. Il vit et travaille à Zell am Harmersbach dans la Forêt-Noire.
Bien que son matériau de base soit issu du monde extérieur, de la nature, c’est à une promenade intérieure que le sculpteur allemand Armin Göhringer nous invite. Taillant le bois essentiellement à l’aide d’une tronçonneuse, l’artiste, entre habileté et puissance du geste, va faire apparaître les forces et les faiblesses de la chair d’un arbre : variation de densité du bois qui permettra au végétal de mener sa croissance en fonction de son environnement. L’arbre serait-il le sculpteur de sa propre forme ? Une structure géométrique, une logique intrinsèque à l’arbre semble alors se dévoiler sous les coups de lame du sculpteur explorant le territoire situé entre surface et noyau, entre corps et âme de l’arbre.
(Extrait du texte de présentation de l’exposition d’Armin Göhringer au CEAAC Strasbourg).
Voir le site d’Armin Göhringer

2023 – Noël à la Galerie

Charlotte Genevaux a un parcours atypique. Après avoir passé plusieurs années dans le milieu industriel, elle a fait le choix de s’installer dans les Hautes Vosges et de laisser libre court à ses deux passions que sont l’Art et la Nature.
En 2023, Charlotte a ouvert un espace d’exposition d’exception, « Le Pantographe », situé à Le Tholy.

Denis Hilt est sculpteur et graphiste. Son Spatz, un moineau en terre cuite émaillée, est emblématique de la Moselle et de la Lorraine. Chaque Spatz est unique. Denis Hilt nous offre à travers la représentation naïve et poétique de ce petit moineau, un reflet de la société humaine.

Ariane Lepilliet travaille depuis une dizaine d’années dans le domaine de la conservation et de la valorisation du patrimoine écrit et graphique. C’est dans ce cadre qu’elle a été amenée à s’intéresser aux procédés de photographie anciens puis à les pratiquer elle-même. 
Depuis plusieurs années, elle utilise la technique du cyanotype pour réaliser des tirages photographiques bleu de Prusse sur papier d’art neutre 100% coton. Ses sujets s’inspirent de ses voyages et du patrimoine architectural en général. Avec un aspect ancien et un rendu proche de l’estampe, chaque tirage est unique. 

Jeanne Picq se forme à la technique de la gravure à l’école Estienne avant de pratiquer dans différents ateliers parisiens puis bordelais. En 2015, elle ouvre son propre atelier-boutique à Nancy. 
Son univers est rempli de nature animale et végétale, tourné vers le ciel ou les racines mais toujours dans une joyeuse et délicate composition colorée qui invite au rêve.
Très inspirée aussi par les souvenirs d’enfance que lui font revivre ses propres enfants, ses gravures sont peuplées de petits personnages joueurs ou doux rêveurs.
Sa technique favorite est l’eau-forte mais elle réalise aussi des linogravures et mélange souvent les deux, quand elle ne rajoute pas des petits découpages de papiers à motifs.

Stéphanie Robert, passionnée par le vivant et curieuse de nature, est de formation scientifique. Elle a étudié la biologie, l’écologie, les sciences de l’environnement, puis la communication scientifique.
Stéphanie Robert réalise des photogrammes depuis 2008, fascinée par ceux des surréalistes depuis l’âge de 20 ans, et attirée par le côté expérimental et matériel du procédé, par les manipulations et expériences en chambre noire, et par les épatantes formes du vivant.

Pour Chantal Toussaint, « modeler la terre est un moment suspendu où l’esprit s’évade. Se mélangent alors des images et des souvenirs multiples d’objets, de paysages, de lectures… Eléments mémorables qui s’organisent en familles imaginaires et se cristallisent sous la main. L’atelier devient laboratoire de recherche poétique, intime cabinet de curiosité ».

2023 – Raku – Smalti – Martial Mandin – Philippe Ronzat

Martial MANDIN est né en 1951 dans la Marne. Autodidacte, il vit à Châlons-en-Champagne. Martial Mandin a suivi plusieurs stages de formation aux techniques de la céramique à l’École Municipale des Beaux Arts de Vallauris et auprès d’artistes céramistes professionnels. Il a été initié aux différents procédés de gravure avec André Stengele graveur à Flagnac en Aveyron.
Martial Mandin expose depuis plusieurs années à Paris ainsi qu’en province.
« La céramique, et plus particulièrement la cuisson Raku, me permettent d’explorer la dialectique entre l’imaginaire et la matière, entre les corps et les désirs, une incarnation des fantasmes confrontés à la réalité du feu, de la terre et des oxydes métalliques. Je laisse remonter les «choses». J’obéis à quelque chose qui me dépasse. Je suis le manutentionnaire, l’ouvrier, l’artisan. Parfois l’artiste ». Martial MANDIN, 2023

Philippe RONZAT vit à Châlons-en-Champagne. Baigné dès son plus jeune âge dans une atmosphère mussive, Philippe RONZAT ne conçoit pas un aboutissement de son expression artistique sans la mosaïque.
Entre 1970 et 1974, Philippe Ronzat a suivi une formation à l’École de Mosaïque Irène de Spilimbergo (Italie), il a participé à de nombreuses expositions collectives où il présente ses mosaïques, ses peintures et ses dessins.
À partir de 1998, il entreprend une nouvelle technique et restreint alors son espace de création à une toile de jute écartelée dans laquelle s’insèrent des tesselles. L’œuvre prend alors une nouvelle dimension et joue avec le regard du spectateur.
En 2000, il est lauréat du concours « Un des Meilleurs ouvriers de France – Mosaïque d’Art ».
« Aussi loin que se porte mon regard, l’art de la mosaïque m’environne, originellement, génétiquement, il est en moi, toutes mes visions artistiques m’y replongent inexorablement. Pourquoi chercher à comprendre ou à expliquer l’inexplicable ? C’est très bien ainsi, notre vie passe et nos sensibilités mutent.
Le monde qui nous entoure se transforme, notre entourage se dessine et s’efface, des images me touchent, des fantômes de notre passé semblent se rappeler à moi. Je dois les traduire. Pierre à pierre, je m’efforce de les faire revivre, petit à petit ils traversent la toile, nous nous regardons ». Philippe RONZAT, 2023.

2023 – Bestiaire des montagnes bleues – Jean-Pierre Lécuyer

Jean-Pierre Lécuyer, graveur plasticien est né à Épinal. Il vit à Plombières-les-Bains.
Études d’arts graphiques aux Beaux-arts de Nancy. Prix de l’Académie Stanislas. Gravures dans les collections privées et publiques en France et à l’étranger. Membre fondateur de Xylon-France dont il a été le président de 1982 à 2003. Initiateur de nombreuses expositions et d’échanges avec l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, l’Angleterre, l’Autriche, le Québec, le Japon…

« J’ai pratiqué dès mon enfance les belles montagnes bleues. Elles sont ma véritable école et aujourd’hui toujours ma source d’inspiration… Particulièrement l’approche et la surprenante rencontre avec l’animal, son image forte à caractère animiste qui ensuite m’accompagne. Au-delà de la bête vivante, d’autres animaux rêvés galopent dans ma tête et s’apparentent symboliquement aux légendes du pays.
Ainsi en quelques cinquante années, je suis devenu un piégeur d’images dans ce vaste et merveilleux univers montagnes-forêts. Pour ce faire, j’ai choisi la xylographie, son impact graphique correspond bien à l’expression poétique que je recherche. »
Jean-Pierre Lécuyer, avril 2023

Voir le site de Jean-Pierre Lécuyer

2023 – ronde couleur – Didier Guth

Cette exposition a été présentée en partenariat avec l’atelier Christian Peter, 39 rue Liétard à Plombières-les-Bains.
Didier Guth, artiste plasticien, est né en 1951 à Strasbourg où il travaille et vit toujours.
Il a suivi des études de Lettres modernes et d’Histoire de l’art à Strasbourg. Chargé d’enseignement en Arts plastiques à l’Université de Strasbourg et professeur de Lettres modernes au lycée Kléber jusqu’en 2012, il est membre du groupe de plasticiens « Faisant » et du groupe « Plakatwand Kunst », membre de « Quinz’art », il est l’un des fondateurs de « zone d’art ».

Didier Guth a exposé en France, en Allemagne, en Chine, aux États-Unis, en Italie, au Luxembourg, en Belgique, en Finlande et en Angleterre.
Collections particulières en France, en Suisse, en Allemagne et aux États-Unis.

Didier Guth travaille à la réalisation de peintures (empreintes sur papier, peintures sur carton et sur bois), d’objets (reliefs de bois découpés peints), d’images (photographies aménagées), de textes (livres d’artistes), de gravures et de monotypes (atelier Rémy Bucciali).

« Mes pratiques artistiques sont multiples ayant toutes à voir avec le collage et l’image, les objets et les traces.
En cela, je suis un pur produit de l’histoire de l’art du XXe siècle, héritier aussi bien de Schwitters que de Picasso pour les collages, de Klee et de Mirò pour les formes, du pop art pour les couleurs et les formes simples, de Warhol pour les images, les séries, les accumulations et les photocopies, de Calder pour les objets. » Didier Guth, 2023

Représenté par :
Artvista : Hubert Cuillier
Rémy Bucciali
Galerie JustBee
Artup collector

Voir le site de Didier Guth

2022 – Noël à la Galerie

Dans le cadre du Marché de Noël organisé à Plombières-les-Bains, la Galerie ouvre ses portes pour deux week-ends dédiés à la magie de Noël.

2022 – Photographies – Christian Peter

Christian Peter est né à Munster en 1959. Dès son plus jeune âge, il s’intéresse à la photographie. À 14 ans, il s’offre son premier reflex argentique avec comme objectif de faire de la photo animalière dans le massif vosgien.
Après une dizaine d’années passées dans la scierie familiale, il achète un ancien restaurant pour en faire sa résidence. Il s’investit dans la conception de meubles jusqu’en 2015. Une de ses créations sera visible pendant l’exposition.
En 2012, il s’équipe d’un appareil numérique qui lui permet de répondre à ses exigences. S’ouvre alors à lui le champ des possibles de l’expression photographique.
Dans cette exposition, Christian Peter nous offre à voir certaines photographies extraites des différentes séries qui composent son œuvre : « Horizon tales », « Autoportraits », « Abstractions faites », « Factory telling »… Ces photographies mêlent ombre et lumière, abstraction et réalisme, force et fragilité, monde disparu et monde réel. Christian Peter nous dévoile une partie de son univers avec élégance et sensibilité.
Voir le site de Christian Peter

2022Les Auteurs aux Balcons

2è Édition du Festival du livre de Plombières-les-Bains, organisé par la ville de Plombières-les-Bains, avec le soutien des Éditions Ex AEquo, les 25 et 26 juin 2022.
La galerie a accueilli Noëlla Cailly et Roland Chopard.
Blog de Noëlla Cailly
Site des éditions Æncrages & Co créées par Roland Chopard
Site des Éditions EX ÆQUO

2022 – « Les ombres fertiles » : Broder, feutrer et coudre le rêve – Stéphanie Bodin

Originaire de Lorraine, née en 1972, je définis ma pratique artistique comme autodidacte et singulière, à la frontière entre art et artisanat.
En 2016 je découvre la laine cardée et les possibilités offertes par le feutrage de cette matière naturelle, organique, que j’apprécie à la fois pour ses qualités plastiques (malléable, souple, légère…) et symbolique (primitive, protectrice, brute et noble à la fois…).
Je la travaille principalement avec une aiguille spéciale pour la mettre en volume, ce qui n’exclût pas l’utilisation de l’eau et du savon pour certaines réalisations. Cette transformation de la laine produit le feutre, un textile non tissé, le plus vieux textile produit par les hommes, incarnant le lien magique entre nature et culture, humanité et animalité, le monde « civilisé » et « sauvage »… J’aime y associer d’autres éléments tels que des dentelles, des morceaux de canevas que je découpe, mais aussi des perles, sequins, des éléments naturels comme des petits os, des plumes, des bois de cervidés glanés çà et là…
Je m’inspire du vocabulaire esthétique des arts et artisanats populaires d’Europe et d’ailleurs, des mythes et des archétypes qui constituent un fil conducteur traversant les différentes cultures… je reconfigure tous ces apports culturels qui ne sont pas les miens pour créer mon vocabulaire visuel propre et ainsi donner une matérialité à mon univers intérieur.

Cette exposition présente des œuvres textiles en bas-relief et des sculptures qui explorent les ambivalences, les limites, les frontières : entre la vie et la mort, le jour et la nuit, le rêve et le réel, entre les mondes humain, animal, végétal… Il s’agit de jeter un pont vers un ailleurs, nous relier au mystère… créer un monde et y inviter les autres.

Coiffes et couronnes

Récemment, j’ai découvert la collection de coiffes constituée par Antoine de Galbert, transférée depuis peu au musée des Confluences de Lyon. Elles présentent bien toute la richesse de la diversité culturelle humaine aujourd’hui disparue, ou en passe de l’être, face à l’uniformisation. Cela m’a donné envie de créer ma propre collection de coiffes, couronnes et colliers de peuplades n’ayant jamais existé que dans mon imagination. Dans les sociétés traditionnelles, les coiffes ont avant tout une fonction symbolique. Elles permettent une modification immédiate de l’apparence et de la forme de la tête. Objets de communication et de pouvoir, elles formalisent matériellement une compétence de passeur entre deux mondes à celui qui la porte. Il en est ainsi de la mitre de l’évêque tout aussi bien que de la coiffe du chaman sibérien ou la couronne du roi de France… À travers ces objets, l’invisible fait irruption dans la vie terrestre.
Stéphanie Bodin, mai 2022
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2021 – De l’étoffe de nos songes – Denis Drouillet


Formé à l’École des Beaux-Arts de Saint-Étienne, puis en histoire de l’art et archéologie à
l’Université de Strasbourg, Denis Drouillet pratique principalement le dessin. Il puise son
inspiration dans la littérature, l’art médiéval, les graveurs de la Renaissance et du XIXe
siècle, l’Art Nouveau, le courant symboliste, les décadents, et dans les illustrateurs du
début du XXe siècle. Depuis 2019, il a choisi de s’installer et de travailler à Plombières-les-
Bains.
Cette exposition assemble une première série de dessins en noir et blanc, principalement
à l’encre. Animaux, insectes, masques cultuels ou mascarons destinés à conjurer le
mauvais sort, portraits de noix (« Minois de mi-noix ») dessinés en hachures croisées, de
plus en plus fines au fur et à mesure des réalisations. Les dernières ont demandé chacune
un travail de plusieurs mois (« Un travail de fourmi », « Vanité aux cigales ») : des petits traits
de stylo-plume par milliers, qui se croisent avec minutie sur le papier. Le dessin est
l’aboutissement concret de ces heures de concentration appliquée.
La deuxième série présentée est celle des dessins fantasmagoriques réalisés avec la
technique du grattage aux pastels gras. Minutieusement, la pointe dessine un entrelacs
de figures imaginaires et légendaires, de gargouilles pensives, d’amants lascifs, de félins
sauvages, de divinités exotiques, de personnages de Shakespeare et de Poe… Ces
univers fantastiques évoquent les rêveries des créateurs, les songes des écrivains, les
chimères des lecteurs, des rêveurs et de tout un chacun…
« Je cherchais à fabriquer mes propres papiers à gratter, pour dessiner en négatif,
blanc sur noir, et faire surgir des figures de la nuit. J’ai alors repensé à la technique
de grattage aux pastels gras, que j’avais apprise adolescent. Ce sont les songes qui
surgissent de la nuit, comme les images hypnagogiques qui se dessinent sur nos
paupières avant le rêve. Je travaille avec des lunettes grossissantes, ce qui me
permet de graver de nombreux détails. J’aime donner à voir beaucoup de choses,
comme l’architecture des églises gothiques par exemple, on l’on découvre de
nombreux détails à mesure que l’on regarde. »
Stéphanie Robert
http://www.exceptionfaite.fr

2021 – Curieux personnages – Monique Granjon

Originaire du vignoble champenois, née en 1951, Monique Granjon vit à Châlons-en-
Champagne. Autodidacte, elle participe à des expositions collectives et
personnelles, Salons d’Automne Art Vivant depuis une vingtaine d’années, au
Musée de Razgrad en Bulgarie, au Romaneum de Neuss en Allemagne, à la Maison
du Département à Reims, au Salon des artistes français « Art en Capital » au Grand
Palais à Paris en 2014, au Salon d’automne à Paris en 2015, aux Biennales
internationales de Printemps au Prieuré de Vinetz à Châlons-en-Champagne, au
groupe Créer à Epernay, en Galeries à Honfleur et à la Galerie des Bains à
Plombières-les-Bains.
Le personnage peint ou sculpté en terre cuite ou en papier mâché est son sujet
principal.
Laissant aller son imagination, elle peint des personnages drôles, déformés, curieux,
colorés, parfois tristes, aux allures caricaturales. Ils donnent l’illusion de
«l’enfantin». Il lui arrive également de reproduire en terre cuite les personnages
qu’elle a peints. Elle aime les accessoiriser pour créer l’originalité. Sa peinture est
acrylique associée parfois à des collages. Elle utilise des papiers peints, de la ficelle,
des débris de peinture séchée, et crée un univers particulier qui la fait rêver.
Cette période de confinement lui a permis de créer davantage et de développer son
imaginaire sous des formes différentes. De ses peintures se dégage une certaine
émotion, vous y découvrirez de la joie, de la surprise, de la stupeur, et de la
douceur.
Elle habille ses créations. Elles sont animées, elle les contraint à porter certains
accessoires qui les mettent en valeur. Leur garde-robe la fait rêver et lui rappelle la
période où elle aimait fabriquer et accoutrer des poupées.
La morphologie de ses personnages reste toujours la même. Ils sont seuls ou parfois
en tribus.
Ce sont des êtres particuliers, ils interpellent et interpellent le spectateur sans
doute. Un dialogue s’instaure entre elle et eux, elle aime les abîmer, non pas pour
les faire souffrir, mais pour leur donner un genre peu commun pour que le
spectateur s’interroge et découvre un art propre à sa personnalité, et elle finit par
penser que l’œuvre est autant faite par ce spectateur que par l’artiste.
Lorsque l’on regarde l’ensemble de ses toiles, on ne remarque que des bustes aux
visages très expressifs représentant la vie et porteuses de sens et poésie.

2020 – ErotiCart – Bertrand CapusMartial Mandin

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2020 – Du corps à la forêt – Laurence Douadi

Il aura fallu plus de vingt ans pour que la peinture s’impose à nouveau à moi comme l’évidente nécessité d’une renaissance…
Peindre les corps, observer la lumière qui les fera naitre dans la matière, dans des poses et des mises en scène photographiques comme point de départ.
Autoportraits, cheminements intimes, à la fois pudiques et offerts à chacun, oscillants entre univers chimérique, symbolique et réaliste.
S’abandonner à la peinture, à la matière couleur, à la forme jusqu’à en oublier le récit de départ pour n’être plus que dans une succession de gestes dévolus à la toile qui peu à peu se couvre, ou laisse apparaitre les transparences. Dessiner dans la couleur pour se raconter dans la profondeur du support.
Palimpseste, les traces disparaissent ou s’affirment comme des couches successives pour devenir peaux.
Guerrière ou licorne, faire la paix avec soi-même, affronter ses peurs, cultiver le sol pour s’en nourrir, portée par la force, avancer dans la forêt immense, dans une superposition et une juxtaposition de verticales colorées, rythmes optiques infinis invitant chacun à sa propre déambulation, à sa propre méditation.
Il n’y a plus besoin de représenter le corps figuré, qui désormais, habite chaque espace représenté.
Laurence Douadi
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2019 – Lucky Jerks – Renaud Monfourny (Les Inrockuptibles)

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